Les machines simples permettent de répondre à certains besoins en minimisant les efforts à fournir et les consommations énergétiques. Très utilisées avant l’apparition des énergies domestiquées (vapeur, mais surtout électricité), les connaissances de bases, apprises au Canada en primaire, sont de moins en moins connues et étudiées.
La mécanique, est souvent au sein des technologies, une approche permettant d’économiser de l’énergie nécessaire à la production de manière drastique, résiliente et plus facilement réparable. Lorsqu’un usage technologique est nécessaire, il est possible de classer les technologies par impact, d’une manière générale.
Ainsi, certaines technologies sont moins impactantes, voire réparatrices (traitement biologique, mécanique, passif...) et d’autres sont plus impactantes (électrique, électronique...). Les premières sont souvent plus réparables et plus compréhensibles par l’observation.
Il existe aussi d’autres approches utilisant la dynamique des fluides par exemple.
Chaque domaine a aussi des « bonnes pratiques de ressources, d’usages, de mises en œuvre et de traitement » et des usages pertinents.
Questionner l’utilité de l’usage, son impact et les alternatives existantes permet une base de réflexion saine.
Pour une diminution des consommations utiles, cela devrait être une des premières approches avec d’autres principes bio-géo-physiques (Dynamique des fluides : effet venturi, appel d’air, principes de conservation, échanges thermiques... Propriétés des matériaux bruts : matériaux réfractaires, conductivité, perméabilité... Bioremédiation avec bactéries, champignons, plantes ou algues...)